« Pourquoi faire référence aux données des neurosciences affectives et sociales ? Parce qu’elles nous aident à mieux comprendre l’enfant. Une grande partie du cerveau est dévolue aux relations sociales et affectives, ce qui prouve leur importance capitale pour le développement des êtres humains. L’enfant est un être profondément sociable. Il a besoin de nouer des relations avec des adultes qui le comprennent, le réconfortent et le soutiennent. » Catherine Gueguen