Barbara Demeneix, biologiste et endocrinologue, a mis en lumière l’impact des perturbateurs endocriniens sur le QI des bébés à naître. Voici un extrait de son analyse scientifique publiée en 2016 dans le Journal du Centre national de la recherche scientifique (CNRS).
« L’intelligence et la santé mentale de nos futurs enfants sont menacés par une exposition continue à des mélanges perturbant les hormones thyroïdiennes dans le corps de la mère, et ce dès la conception… Notre système de santé publique devrait s’assurer que toute femme enceinte dispose, dès les premiers jours, d’assez d’iode pour maintenir des réserves d’hormones thyroïdiennes satisfaisantes, pour elle comme pour le fœtus en développement. La meilleure façon d’y parvenir est de s’assurer qu’elles consomment assez d’iode (via des compléments alimentaires et l’utilisation du sel iodé). Cette mesure simple et peu onéreuse pourrait préserver la fonction thyroïdienne de la mère et le développement cérébral des enfants. Il pourrait ainsi contribuer à réduire les effets de la pollution chimique. »
Barbara Demeneix, biologiste, endocrinologue. Lire l’article complet.
Pour faire en sorte que dès la conception, la future mère ne soit pas carencée en iode, c’est 3 mois avant la conception qu’il faut vérifier le taux d’iode et pallier une éventuelle carence. C’est important car le cerveau de l’enfant commence à se former dès la conception.
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